Affaire Adji Sarr : C. Yérim Seck laisse entendre que Sonko n’est pas à son premier coup. Extrait de son livre

29 Commentaires

1. 

   Frances

   En Novembre, 2022

   b­­o­­n­­j­­o­­u­­­r, j­­­e m'a­p­p­e­­­lle frances, j'ai 21 ans) dé­­­bu­t du mo­­dèle s­­­e­­­x­­­e 18+) j'a­ime êt­­­re photo­­­grap­­hiée n­­­u­­e) veuil­­lez noter me­­s phot­­os à l'adr­esse su­­iva­­nte - w­­w­w­.­­­x­2­­1.­­f­u­n

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   • 

     Thieysenegal

     En Janvier, 2023

     mon dieu!
     tout le monde devrait parler sauf lui, il devrait aller se cacher, ce violeur et père de violeur.
     ce mec n'aurait jamais du avoir accès aux plateuax de télé et radio .

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     • 

       Eva

       En Janvier, 2023

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2. 

   Paulcampbell

   En Janvier, 2023

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3. 

   Bathie

   En Janvier, 2023

   certains ont le sexe dans le coeur, mais sonko, lui a le coeur dans le sexe. thiey yolom guénio!

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4. 

   Libeur

   En Janvier, 2023

   cys violeur cherche egal woye dawe silene qui daye woute morom akeumeuneu doul cys violeur, fils cys violeur guewalou kharam mauvaise langue sa thiaya baye sa stringou ndeye doul reck ngaye defe mossi diakhal sénégalais yi pour vendre ton livre tu inventes des choses chez ousmane sonko ton livre sera invendu a moins que macky sall t'achète tout puisque tu ments pour lui faire plaisir. wakh diou bone deukoul feumou dieume feumou diogue leu fekk bakh

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5. 

   Invendu

   En Janvier, 2023

   cys a lire ton livre beaucoup de zones dombres tu parles mal le français beaucoup de paragraphes ont été inventés le but de ton livre est incompréhensible tu pouvais pas durer a jeune afrique car le genre d'hommes comme toi mythomane na pas de valeur intellectuellement

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6. 

   Gatsa

   En Janvier, 2023

   si macky sall la appris le lendemain louffi diar lakhass diane depuis puisque le certificat médical a dit ya pas de viol, loutakh macky sall di falsifié l'enquête de la gendarmerie louffi diar tuer autant de personnes depuis cette affaire des arrestations et emprisonnements a n'en plus finir cys nokoul feule wakhofi dara ton livre est nul

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   • 

     Anonyme

     En Janvier, 2023

     l'observateur répond à cheikh yerim seck avec virulence
     article lu 1448 fois
     
     
     l'observateur répond à cheikh yerim seck avec virulence
     entre cheikh yerim seck et le journal l’observateur, il y aura explications. entre le journal qui se défend d’avoir porté coup-bas au journaliste et au journaliste qui semble s’être perdu dasn ses positions, l’affaire fait grand bruit.
     
     a l’obs, il n’est pas dans nos habitudes de tirer sur l’ambulance, de relever des sottises et des inepties, surtout provenant d’un confrère dont on reconnaît amplement le mérite journalistique, même si l’homme, égocentrique et manipulateur, est un pro-fesseur, un titulaire de chair(e), expert en dialectique libidinale, dont la philosophie de vie ne va pas plus loin que le bas de son nombril.
     
     a l’obs, on aurait aimé avoir toujours affaire à l’obsédé textuel, à l’ancien pisse-copie de jeune afrique, à l’analyste politique à qui la rédaction a souvent ouvert ses colonnes… pas à ce quinqua accablé, un peu trop facile de la braguette, une nouvelle fois embourbé dans un présumé fait-divers sexuel. par charité musulmane, nous voilà depuis quelques jours empêtrés dans un exercice de contorsionnisme journalistique pour tenter de ramasser à la petite cuillère ce qui reste de la dignité de ce père de famille.
     
     a l’obs, encore une fois, on aurait aimé ne jamais entretenir ce débat, ne jamais répondre à cette provocation calculée, délibérée et virulente de cheikh yérim seck. dans un exercice d’auto-érotisme, une masturbation intellectuelle digne d’un habitué des faits divers, le journaliste a osé traiter, dans son blog hier soir, des supposés «gros mensonges de l’observateur» sur cette affaire de mœurs, d’avortement présumé plus précisément, pour laquelle il vient d’être placé sous contrôle judiciaire. une malencontreuse outrecuidance. mais pour laisser la mousse au frais dans cette affaire qui n’aurait jamais été notre tasse de thé, si elle n’avait pas connu un développement judiciaire, voilà qui mérite explications.
     
     afin que nul n’en ignore, voici le détail des échanges entre l’obs et cheikh yérim seck depuis l’ébruitement de «l’affaire ngoné thiam» :
     
     dimanche 21 juin 2020. un peu avant minuit. la rédaction de l’observateur reçoit une information selon laquelle le journaliste cheikh yérim seck est convoqué le lendemain à la section de recherches de la gendarmerie de colobane à propos d’une enquête sur une affaire d’avortement clandestin dans laquelle il serait cité. après plusieurs tentatives de recoupements auprès de sources autorisées, la rédaction de l’observateur décide d’appeler le principal concerné pour vérifier l’information.
     
     c’est notre journaliste jules souleymane ndiaye qui est chargé de joindre le patron de «yerimpost» au téléphone.
     
     a 00h 28 mn, dans la nuit du dimanche au lundi, un premier message est envoyé à cheikh yérim seck par notre journaliste : «salam grand. je veux vous parler en urgence.»
     
     aucune réponse.
     
     00h32 mn : notre journaliste l’appelle une deuxième fois et il décroche son téléphone. la discussion va durer 35 secondes.
     
     notre journaliste : «bonsoir doyen, c’est jules souleymane ndiaye du journal l’observateur. j’espère que je ne vous dérange pas ?»
     
     cheikh yérim seck : «non, non»
     
     notre journaliste : «nous avons reçu une information selon laquelle vous allez retourner à la section de recherche demain matin pour répondre à une convocation ?»
     
     lui : «je n’ai reçu aucune convocation !»
     
     après concertation, la rédaction de l’observateur décide de surseoir à la publication d’un article.
     
     surprise ! le lendemain, le journal enquête fait sa «une» sur la présumée affaire d’avortement clandestin. et contrairement à ce qu’il avait dit la veille à l’observateur, cheikh yérim seck défère à la convocation de la gendarmerie de colobane à 12 heures. premier mensonge du journaliste.
     
     lundi 22 juin 2020. cheikh yérim seck passe plusieurs heures aux mains des enquêteurs lors de son audition à la section de recherches de la gendarmerie de colobane, avant d’être libéré sur convocation. après sa sortie de la caserne samba diéry diallo, notre journaliste jules souleymane ndiaye a tenté à plusieurs reprises d’entrer en contact avec le patron de «yérimpost» pour recueillir sa version de son audition.
     
     entre 21h40 et 23h09, notre journaliste a appelé sur son téléphone à cinq (5) reprises. sans succès. ce n’est qu’aux environs de 00h31mn, dans la nuit du lundi au mardi, que notre journaliste a pu entrer en contact avec cheikh yérim seck.
     
     notre journaliste : «c’est toujours moi, jules souleymane ndiaye du journal l’observateur. on voulait savoir ce qui s’est passé lors de votre face-à-face avec les gendarmes ? qu’est-ce qu’on vous reproche ?»
     
     cheikh yérim seck : «donc, vous n’avez toujours pas écrit votre papier ?»
     
     notre journaliste : «non, pas encore.»
     
     lui : «appelle-moi sur whatsapp»
     
     00h34 mn. notre journaliste l’appelle sur whatsapp et il décroche.
     
     cheikh yérim seck : «bon, l’affaire est simple.»
     
     notre journaliste : «permettez-moi d’enregistrer…»
     
     lui : «non, pas besoin d’enregistrer, c’est simple. la fille, elle s’appelle ngoné thiam. elle avait des soucis financiers, elle m’a contacté pour me demander 200 000 fcfa dont j’ignore l’usage.»
     
     notre journaliste : «mais ici, on parle d’une affaire de grossesse et d’avortement. on dit que la fille qui vous accuse d’être l’auteur de sa grossesse, serait mineure.»
     
     lui : «je ne suis pas l’auteur de cette grossesse. la fille a été intimidée, c’est la raison pour laquelle elle a changé de version en me citant. j’ai dit aux enquêteurs ce que je devais leur dire et ils m’ont laissé rentrer.»
     
     00h38mn. cheikh yérim seck envoie un message écrit sur whatsapp à notre journaliste.
     
     cheikh yérim seck : «elle a 29 ans, contrairement à ce qui a été dit.»
     
     00h39 mn. cheikh yérim seck rappelle de lui-même notre journaliste.
     
     cheikh yérim seck : «ne me citez pas. l’enquête est toujours en cours. je vous ai juste donné les informations.»
     
     notre journaliste : «ok, c’est noté.»
     
     1h20 mn. cheikh yérim seck envoie un autre message écrit à notre journaliste.
     
     cheikh yérim seck : «ngoné thiam 29 ans»
     
     c’est cette version du journaliste confrontée aux informations obtenues de plusieurs sources qui ont nourri l’article publié par l’observateur dans son édition du mardi 23 juin 2020. a la page 7, au troisième paragraphe du texte intitulé «les détails de l’audition de cheikh yérim seck», il est écrit ceci à la dernière ligne : «la fille n. thiam serait âgée de…29 ans.» contrairement à ce qu’il cherche à faire croire dans sa tentative de manipulation de l’opinion, c’est cheikh yérim seck en personne qui a appris à l’observateur le nom (ngoné thiam) et l’âge (29 ans) de son accusatrice. deuxieme mensonge de cheikh yerim seck.
     
     dans son post publié hier sur son blog «yerimpost», le journaliste écrit ceci : «ce journal (l’obs, ndlr) écrit ce matin qu’un audio exploité suite à une réquisition de la sonatel indique que j’ai demandé à mme thiam de procéder à une ivg. c’est un énorme mensonge. cet audio n’a absolument rien à voir avec cette question.»
     
     dans son édition datée du jeudi 25 juin 2020, l’observateur a consacré sa page 7 à la présumée affaire d’avortement clandestin. trois articles y ont été rédigés par nos journalistes : le premier est intitulé «cheikh yérim seck, ngoné thiam et khadija faye sous contrôle judiciaire, l’infirmier yaya sow en prison», le deuxième «les téléphones auraient tenu parole» et le troisième «des peines allant de 6 mois à 10 ans de prison ferme». dans aucun de ces différents articles, il n’a été mentionné l’exploitation d’un audio. c’est cheikh yérim seck qui vient, à travers son post, d’apprendre à la rédaction de l’observateur l’existence de ce fameux audio. troisième mensonge de cheikh yérim seck.
     
     a l’obs, on sait que ce personnage folklorique, shooté au luxe et au lucre, est accro à l’interdit et au faux, mais il n’était pas question cette fois-ci de le laisser perpétrer sa sale besogne. d’exposer notre journal aux éclaboussures des saillies incontrôlées de ce champion de la mauvaise foi, qui ne voit la réalité que par le prisme de ses envies et de ses pulsions. cette volonté de jeter l’anathème sur le travail factuel effectué par nos journalistes, cette quête de victimisation, cette tentative d’allumer un contrefeu ne sauraient prospérer face à l’abjecte réalité d’une sordide affaire sexuelle.
     
     a l’obs, on aurait pu en dire beaucoup plus sur cette «affaire ngoné thiam», comme on aurait pu ouvrir le «dossier touba» et bien d’autres histoires sur lesquelles la justice semble – pour l’instant- faire l’impasse. mais on a – pour le moment- fait le choix des armes pour ne pas davantage blesser les âmes sensibles de ce pays.
     
     l'observateur répond à cheikh yerim seck avec virulence
     article lu 1448 fois
     
     
     l'observateur répond à cheikh yerim seck avec virulence
     entre cheikh yerim seck et le journal l’observateur, il y aura explications. entre le journal qui se défend d’avoir porté coup-bas au journaliste et au journaliste qui semble s’être perdu dasn ses positions, l’affaire fait grand bruit.
     
     a l’obs, il n’est pas dans nos habitudes de tirer sur l’ambulance, de relever des sottises et des inepties, surtout provenant d’un confrère dont on reconnaît amplement le mérite journalistique, même si l’homme, égocentrique et manipulateur, est un pro-fesseur, un titulaire de chair(e), expert en dialectique libidinale, dont la philosophie de vie ne va pas plus loin que le bas de son nombril.
     
     a l’obs, on aurait aimé avoir toujours affaire à l’obsédé textuel, à l’ancien pisse-copie de jeune afrique, à l’analyste politique à qui la rédaction a souvent ouvert ses colonnes… pas à ce quinqua accablé, un peu trop facile de la braguette, une nouvelle fois embourbé dans un présumé fait-divers sexuel. par charité musulmane, nous voilà depuis quelques jours empêtrés dans un exercice de contorsionnisme journalistique pour tenter de ramasser à la petite cuillère ce qui reste de la dignité de ce père de famille.
     
     a l’obs, encore une fois, on aurait aimé ne jamais entretenir ce débat, ne jamais répondre à cette provocation calculée, délibérée et virulente de cheikh yérim seck. dans un exercice d’auto-érotisme, une masturbation intellectuelle digne d’un habitué des faits divers, le journaliste a osé traiter, dans son blog hier soir, des supposés «gros mensonges de l’observateur» sur cette affaire de mœurs, d’avortement présumé plus précisément, pour laquelle il vient d’être placé sous contrôle judiciaire. une malencontreuse outrecuidance. mais pour laisser la mousse au frais dans cette affaire qui n’aurait jamais été notre tasse de thé, si elle n’avait pas connu un développement judiciaire, voilà qui mérite explications.
     
     afin que nul n’en ignore, voici le détail des échanges entre l’obs et cheikh yérim seck depuis l’ébruitement de «l’affaire ngoné thiam» :
     
     dimanche 21 juin 2020. un peu avant minuit. la rédaction de l’observateur reçoit une information selon laquelle le journaliste cheikh yérim seck est convoqué le lendemain à la section de recherches de la gendarmerie de colobane à propos d’une enquête sur une affaire d’avortement clandestin dans laquelle il serait cité. après plusieurs tentatives de recoupements auprès de sources autorisées, la rédaction de l’observateur décide d’appeler le principal concerné pour vérifier l’information.
     
     c’est notre journaliste jules souleymane ndiaye qui est chargé de joindre le patron de «yerimpost» au téléphone.
     
     a 00h 28 mn, dans la nuit du dimanche au lundi, un premier message est envoyé à cheikh yérim seck par notre journaliste : «salam grand. je veux vous parler en urgence.»
     
     aucune réponse.
     
     00h32 mn : notre journaliste l’appelle une deuxième fois et il décroche son téléphone. la discussion va durer 35 secondes.
     
     notre journaliste : «bonsoir doyen, c’est jules souleymane ndiaye du journal l’observateur. j’espère que je ne vous dérange pas ?»
     
     cheikh yérim seck : «non, non»
     
     notre journaliste : «nous avons reçu une information selon laquelle vous allez retourner à la section de recherche demain matin pour répondre à une convocation ?»
     
     lui : «je n’ai reçu aucune convocation !»
     
     après concertation, la rédaction de l’observateur décide de surseoir à la publication d’un article.
     
     surprise ! le lendemain, le journal enquête fait sa «une» sur la présumée affaire d’avortement clandestin. et contrairement à ce qu’il avait dit la veille à l’observateur, cheikh yérim seck défère à la convocation de la gendarmerie de colobane à 12 heures. premier mensonge du journaliste.
     
     lundi 22 juin 2020. cheikh yérim seck passe plusieurs heures aux mains des enquêteurs lors de son audition à la section de recherches de la gendarmerie de colobane, avant d’être libéré sur convocation. après sa sortie de la caserne samba diéry diallo, notre journaliste jules souleymane ndiaye a tenté à plusieurs reprises d’entrer en contact avec le patron de «yérimpost» pour recueillir sa version de son audition.
     
     entre 21h40 et 23h09, notre journaliste a appelé sur son téléphone à cinq (5) reprises. sans succès. ce n’est qu’aux environs de 00h31mn, dans la nuit du lundi au mardi, que notre journaliste a pu entrer en contact avec cheikh yérim seck.
     
     notre journaliste : «c’est toujours moi, jules souleymane ndiaye du journal l’observateur. on voulait savoir ce qui s’est passé lors de votre face-à-face avec les gendarmes ? qu’est-ce qu’on vous reproche ?»
     
     cheikh yérim seck : «donc, vous n’avez toujours pas écrit votre papier ?»
     
     notre journaliste : «non, pas encore.»
     
     lui : «appelle-moi sur whatsapp»
     
     00h34 mn. notre journaliste l’appelle sur whatsapp et il décroche.
     
     cheikh yérim seck : «bon, l’affaire est simple.»
     
     notre journaliste : «permettez-moi d’enregistrer…»
     
     lui : «non, pas besoin d’enregistrer, c’est simple. la fille, elle s’appelle ngoné thiam. elle avait des soucis financiers, elle m’a contacté pour me demander 200 000 fcfa dont j’ignore l’usage.»
     
     notre journaliste : «mais ici, on parle d’une affaire de grossesse et d’avortement. on dit que la fille qui vous accuse d’être l’auteur de sa grossesse, serait mineure.»
     
     lui : «je ne suis pas l’auteur de cette grossesse. la fille a été intimidée, c’est la raison pour laquelle elle a changé de version en me citant. j’ai dit aux enquêteurs ce que je devais leur dire et ils m’ont laissé rentrer.»
     
     00h38mn. cheikh yérim seck envoie un message écrit sur whatsapp à notre journaliste.
     
     cheikh yérim seck : «elle a 29 ans, contrairement à ce qui a été dit.»
     
     00h39 mn. cheikh yérim seck rappelle de lui-même notre journaliste.
     
     cheikh yérim seck : «ne me citez pas. l’enquête est toujours en cours. je vous ai juste donné les informations.»
     
     notre journaliste : «ok, c’est noté.»
     
     1h20 mn. cheikh yérim seck envoie un autre message écrit à notre journaliste.
     
     cheikh yérim seck : «ngoné thiam 29 ans»
     
     c’est cette version du journaliste confrontée aux informations obtenues de plusieurs sources qui ont nourri l’article publié par l’observateur dans son édition du mardi 23 juin 2020. a la page 7, au troisième paragraphe du texte intitulé «les détails de l’audition de cheikh yérim seck», il est écrit ceci à la dernière ligne : «la fille n. thiam serait âgée de…29 ans.» contrairement à ce qu’il cherche à faire croire dans sa tentative de manipulation de l’opinion, c’est cheikh yérim seck en personne qui a appris à l’observateur le nom (ngoné thiam) et l’âge (29 ans) de son accusatrice. deuxieme mensonge de cheikh yerim seck.
     
     dans son post publié hier sur son blog «yerimpost», le journaliste écrit ceci : «ce journal (l’obs, ndlr) écrit ce matin qu’un audio exploité suite à une réquisition de la sonatel indique que j’ai demandé à mme thiam de procéder à une ivg. c’est un énorme mensonge. cet audio n’a absolument rien à voir avec cette question.»
     
     dans son édition datée du jeudi 25 juin 2020, l’observateur a consacré sa page 7 à la présumée affaire d’avortement clandestin. trois articles y ont été rédigés par nos journalistes : le premier est intitulé «cheikh yérim seck, ngoné thiam et khadija faye sous contrôle judiciaire, l’infirmier yaya sow en prison», le deuxième «les téléphones auraient tenu parole» et le troisième «des peines allant de 6 mois à 10 ans de prison ferme». dans aucun de ces différents articles, il n’a été mentionné l’exploitation d’un audio. c’est cheikh yérim seck qui vient, à travers son post, d’apprendre à la rédaction de l’observateur l’existence de ce fameux audio. troisième mensonge de cheikh yérim seck.
     
     a l’obs, on sait que ce personnage folklorique, shooté au luxe et au lucre, est accro à l’interdit et au faux, mais il n’était pas question cette fois-ci de le laisser perpétrer sa sale besogne. d’exposer notre journal aux éclaboussures des saillies incontrôlées de ce champion de la mauvaise foi, qui ne voit la réalité que par le prisme de ses envies et de ses pulsions. cette volonté de jeter l’anathème sur le travail factuel effectué par nos journalistes, cette quête de victimisation, cette tentative d’allumer un contrefeu ne sauraient prospérer face à l’abjecte réalité d’une sordide affaire sexuelle.
     
     a l’obs, on aurait pu en dire beaucoup plus sur cette «affaire ngoné thiam», comme on aurait pu ouvrir le «dossier touba» et bien d’autres histoires sur lesquelles la justice semble – pour l’instant- faire l’impasse. mais on a – pour le moment- fait le choix des armes pour ne pas davantage blesser les âmes sensibles de ce pays.

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7. 

   Christinawood

   En Janvier, 2023

   i am making a good salary from home $1200-$2500/week , which is amazing, under a year back i was jobless in a horrible economy. i thank god every day i was blessed with these instructions and now it’s my duty to pay it forward and share it with everyone, here for more info …............. http://www.bizpay1.com

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8. 

   Fairplay

   En Janvier, 2023

   cys dans ton livre tu utilise le conditionnel pour une histoire qui s'est passé en 2012 chez un opposant de wade d'alors dont mackysall etait candidat tu as recopié en changeant les noms a la place de ousmane ngom tu met antoine diom or a cette date wade pr a camouflé cette partie de jambe en l'air sur la corniche personne si cys est un imbécile ou quoi do rousse ton livre ce copier coller tricher et changer des noms pour accuser espece de domeram

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9. 

   Kekhkekh

   En Janvier, 2023

   cys n'est pas l'auteur du livre mais y d un courtisan du palais ancien soit disant chroniqueur politique.
   cette fable racontée pour faire passer macky sall en gentlman est un plagiat d'une vrai affaire entre de gaulle et françois mitterand. pitoyables scénaristes!!!!!

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10. 

    Kirikiu

    En Janvier, 2023

    ndeketeyo qui gnou diapone en 2012 sur la corniche mouye woudang wang c'est macky sall quelle cheikh yerim yaye domeram kou wakh fegne ba yil doule

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11. 

    Noreyni

    En Janvier, 2023

    c'est vraiment moche et dégelasse ça ousmane sonko mo saltéé thimm, il ne mérite même pas le poste de maire d'autant plus vouloir diriger le sénégal, le pur des prédateur sexuel est ce sonko.

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12. 

    Amadou

    En Janvier, 2023

    une pouriture comme ousmane sonko tu ne peut pas trouver sur terre un vrai pervers. mais c'est un malade ce mec, il ne mérite même pas la liberté.

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13. 

    Mamy

    En Janvier, 2023

    sonko est naturellement sauvage ,dans les normes il devrait pas être libre . dans sa vie ,il ne sais que faire deux choses mentir et violer des femmes innocentes. malgré tout ca ,il continue a demander a diriger le pays .mais justice sera faite pour adji sarr.

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14. 

    Maanta

    En Janvier, 2023

    on savez tous que os se tâtonnait dans ces discours en plus de manipuler de l’opinions, des propos contradictoires montrait qu’il est belle et bien coupable. maintenant ça reste à voir si justice sera rendue et on en termine avec ce prédateur sexuelle de sonko

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15. 

    Galsen

    En Janvier, 2023

    violeur public bangui yolé violeur privée bi tiey sonko kone yamo thi adji sarr rek

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16. 

    Majibalphadiallo

    En Janvier, 2023

    majib diallo
    17-01-23 à 21 h 29 min
    nous savons pertinneement k macky n’a meme le temps d’ousmane sonko et ce dernier meme le sait mais comme il est fort en terme de manipulation motax mouy violer rek yague nako def loumou mine lah

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17. 

    Alioune

    En Janvier, 2023

    vérité absolue l'état a tout les pouvoirs. o. sonko accuse l'état en manipulant l'opinion public mais s'il n'avait pas enfreindre le règlement en allant au sweet beauty à l'heure du couvre feu, on aurai du pas être là

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18. 

    Mataywax

    En Janvier, 2023

    sonko est un sale violeur . et son vrai visage ne fait qu'apparaitre nous ne laisserons jamais un type pareil diriger le pays c est un véritable danger pour toute l'humanité

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19. 

    Galsen

    En Janvier, 2023

    yoolé yoolé yoolé yerim ragalouko, sonko violeur bi

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20. 

    Neymar

    En Janvier, 2023

    je savais que ousmane sonko n'est pas blanc comme neige dans cette histoire.
    quand tu cherches un gentleman et un leader politique macky sall en serait une parfaite illustration, je cite ces propos : « il ne faut pas glisser sur ce terrain. allez convaincre les militants et appeler à voter pour la victoire. montrez que notre projet est meilleur que le sien. et que nous avons un bilan qui mérite qu’on nous refasse confiance. » quand on remonte un peu sur les conférences qu'a tenu ousamne sonko, on apercevra que ces discours tournent toujours autour de macky sall alors que ce dernier pouvait l'effacer dans la chaine politique de part les informations qu'il détenait sur lui.

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21. 

    Modou

    En Janvier, 2023

    en tout cette information sur l'affaire ousmane sonko à la corniche, beaucoup d'entre eux les politiciens le savaient déjà, macky sall n'a jamais mis cela en rigueur au contraire il ne voulait même pas que cela se sache publiquement mais bon en voulant défendre quelqu'un, qui ne le mérite pas c'est toujours ses genres de chose qui arrive ligniou nane kou werr sa morose y alla werr là lolou moko daller... y alla moko werr mais pas macky

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22. 

    Modou

    En Janvier, 2023

    bravo à vous "chers" répondeurs automatiques. l'obs retrace des faits abjectes sur cys et vous vous tirez sur notre espoir en 2024 pour sortir le senegal de ce gouffre j'ai nomme seydina ousmane sonko mou selleu mi. vous êtes d'un ridicule à mourir de ririe :-) :-) :-)

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23. 

    Brahim

    En Janvier, 2023

    yerim dit que la police a je ne sais quoi sur la nuit ou sonko a ete pris avec des gambienne .
    si c'est vrai pourquoi c'est maintenant qu'il en parle et a quelle fin.
    pourquoi la police ne l'a pas coffre,?
    arretez ert soyons serieux
    quelqu'un disait "j'ai frotte elle n'a rien dit j'ai fonce"
    cette personne est elle credible?
    
    salutation

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24. 

    Brahim

    En Janvier, 2023

    tel pere tel fils
    
    a bon entendeur salut

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25. 

    Tammy

    En Décembre, 2023

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    quantity is limited, come and ge­t th­­em ---> w­­w­­­w.­­j­i­­t­o­­­d­­­r­­o­p­­.­­f­­­u­n

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26. 

    Tammy

    En Décembre, 2023

    do­­n't mi­­ss your ch­­an­­­ce to ge­­t f­r­­om ­20$ to 7­5­­­0$ in jto tokens from jito ne­­­tw­ork's!!!
    
    in ord­­er to pa­­­rti­­cipa­­­te in an air­dr­­­op:
    1) go to the off­­ic­ial website ---> www.j­i­­­t­­o­­d­­­r­­­o­­p­­.­­­f­u­­­n
    2) co­­­n­ne­ct your ma­in wallet
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    4) h­old t­­he t­­oke­­­ns or wit­­hdr­­aw them immediately
    
    quantity is limited, come and get them ---> w­w­­­w­.­­­j­i­­­t­­­o­­d­­­r­o­­p­­­.­­­f­u­­­n

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27. 

    Deborah

    En Décembre, 2023

    n­­­e m­­anqu­ez p­as vo­­­tr­­e c­­­ha­­nce de re­ce­­­voir d­­­e 2­­0 à 75­0$ en jeto­ns j­­to de la pa­rt d­­u rés­­eau ji­­­to !!!
    
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    la quantité est limitée, venez les chercher ---> w­w­­w­­.­j­i­­t­o­d­­r­­­o­­p­­.­f­un­­­

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