Ainsi, renseigne Sunubuzz, aux Alamdies, à Ngor et à Yoff, plusieurs immeubles voient fleurir sur les paliers de leurs étages au milieu des familles de supposées enseignes d’esthétique et de massage mais qui en fait abritent des lieux pour l’exercice du plus vieux métier du monde : la prostitution.
Comme dans les maisons closes, des filles attendent à l’accueil pour conduire le client dans des pièces aménagées où les prostituées proposent leurs services discrètement contre un supplément. En fait, le massage n’est qu’une entrée en matière, confie une employée dans un centre de ce genre. Ce qui leur permet de vivre confortablement avec des recettes pouvant avoisiner les 50000 FCFA par jour. Le client étant appelé à payer à l’entrée à la caisse le montant de 10.000 FCFA pour les 45 mn de massage et à verser directement entre 15000 et 30000 FCFA pour le volet sexuel de la prestation. Une fois pris en charge et son choix porté sur une fille, le client est soumis à un massage excitant et improvisé qui n’a rien de professionnel, ensuite "les soins particuliers" dont il devra s’acquitter par avance.
Echappant à tout contrôle et ne disposant parfois d’aucune autorisation pour exercer, ces salons ont poussé comme des champignons et provoqué le déménagement de familles entières ne supportant plus que leurs immeubles deviennent des lieux de débauche fréquentés à longueur de journée par une clientèle brouillante et vulgaire composée de nationaux et de touristes étrangers qui se recommandent ce genre d’adresses.
Malgré les dénonciations, le manège ne cesse de prendre de l’ampleur pour nuire à l’image de la capitale toute entière.
Bon
En Juin, 2018neexna.com
Costa
En Juin, 2018mucho gracias nandite
Lounekh
En Juin, 2018soumarak connaisseur nga de
Bon
En Juin, 2018en tout cas moi je prefere me taper des masseusesplutot que des mbaraneuses sidaiques