L’affirmation est du député Adama Diallo, ancien directeur général de Petrosen Holding. «C’est un couteau à double tranchant», clame-t-il dans un entretien paru ce jeudi 10 avril dans L’Observateur. C’est une bonne nouvelle dans le sens où, suggère le parlementaire, la baisse des cours entraîne celle du niveau des subventions et que dans un contexte où les marges budgétaires de l’État sont étroites, toute économie est à prendre.
«Le prix réel du carburant est composé de deux termes : la subvention et le prix à la pompe, rappelle l’ancien directeur de Petrosen. Cette forte baisse [du prix] du baril a été absorbée par la subvention puisque le prix à la pompe ne baisse pas. En agissant ainsi, l’État mène une bonne politique budgétaire, conformément aux recommandations du Fonds monétaire international (FMI). […] Les prix subventionnés qui affichaient 775 F CFA le litre de gasoil et 990 F CFA le litre de Super étaient calculés sur la base d’un prix du baril qui avoisinait 100 dollars (près de 60 000 F CFA).»
Eva
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